Infolettre - Groupe Femmes, Politique et Démocratie
L'événement En marche pour la parité

76e anniversaire du droit de vote des femmes au Québec

Aujourd'hui, le 25 avril 2016, coïncide avec l'anniversaire du 76e anniversaire du droit de vote des femmes au Québec. Aussi, il nous est apparu tout indiqué de publier une édition spéciale de notre infolettre en lien avec notre événement En marche pour la parité qui a eu lieu le 11 avril dernier à l'Assemblée nationale du Québec. Un événement qui, de surcroît, avons voulu inscrire dans la même démarche entreprise par les suffragettes, et ce, tant qu’une loi garantissant la parité dans les principaux lieux de décision publics n’aura pas été obtenue.

Le contexte

Tout au long du 20e siècle, des femmes remarquables ont lutté pour que les Québécoises obtiennent des droits égaux. Le monument Hommage aux femmes en politique de l’Assemblée nationale du Québec montre Marie Gérin-Lajoie, Idola Saint-Jean et Thérèse Casgrain tenant en main un projet de loi accordant aux Québécoises le droit de vote et d’éligibilité.

Durant quatorze ans, année après année, ces femmes se sont présentées au Parlement pour revendiquer le droit de vote, et ce, avec des milliers d’autres femmes, jusqu’à ce qu’elles l’obtiennent en avril 1940.

À leurs côtés se tient Marie-Claire Kirkland Casgrain, première femme élue députée en 1961, le bras tendu vers l’avenir. Elle semble indiquer que si l’égalité de principe a été obtenue au 20e siècle, il reste encore du chemin à parcourir pour que l’égalité de représentation et la parité femmes/hommes en politique deviennent des réalités.

Et elle a bien raison.

En marche pour la parité, c’est quoi ?

Nous, le Groupe Femmes, Politique et Démocratie, entendons faire preuve d’autant de ténacité que ces femmes politiques tant qu’une loi garantissant la parité dans les principaux lieux de décision publics n’aura pas été obtenue.

C’est pourquoi nous lançons la Déclaration En marche pour la parité, initiée par le Groupe Femmes, Politique et Démocratie, et mise en ligne le 11 avril dernier à 13 h. Toutes et tous en faveur de l’atteinte de la parité femmes-hommes dans les sphères décisionnelles publiques de la société québécoise sont invités à exprimer leur appui en la signant.

La Déclaration

La parité, une question de démocratie

Depuis 76 ans, les femmes ont acquis le droit de vote et celui d’être élues, qui leur donne accès à l’espace politique dans lequel s’élaborent les lois et règles de vies communes. Elles ont participé à façonner la vie parlementaire, et contribué à l’élaboration de politiques qui concernent tous les citoyens. Les femmes ont également saisi les députés et la classe politique de  la nécessité de tenir compte de leur réalité. Leur participation à la vie publique a porté fruit et fait progresser l’égalité des sexes dans notre société. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin? Pour qu’elles soient présentes à égalité, il faut de nouvelles règles du jeu. Nous avions cru que la société québécoise dite égalitaire avait évolué, et que cela se refléterait automatiquement dans les instances administratives, politiques, économiques, académiques, médiatiques.

Mais la réalité est tout autre. Les femmes sont trop peu nombreuses dans les postes de décision : plus l’on monte dans les sphères du pouvoir, moins elles sont présentes. Cette situation d’inégalité n’est plus acceptable et notre démocratie ne peut s’en satisfaire. La parité dans les instances du pouvoir, de tous les pouvoirs, est désormais le but à atteindre. Or, tant que cette obligation ne sera pas inscrite dans des règles claires, rien ne garantit que les femmes soient présentes dans ces instances un jour, à égalité avec les hommes.

Nous demandons donc à l’Assemblée nationale et au gouvernement de prendre le leadership pour corriger ce déficit démocratique.

Nous proposons que cette démarche prenne la forme d’un chantier dans lequel la classe politique, les citoyens et des experts examineront les différentes options de changement. À l’issue de ce chantier, le gouvernement devra légiférer pour assurer la représentation équitable des femmes et des hommes dans toutes les instances. Nous voulons qu’advienne la parité dans les candidatures à tous les paliers politiques, ainsi que dans les autres instances publiques et dans les processus de nomination.

C'est non seulement une question d'égalité des sexes, mais de légitimité démocratique. 

 

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La parité, une question de démocratie

Texte signé par les membres du Conseil d’administration du Groupe Femmes Politique et Démocratie

Aujourd’hui, le 25 avril 2016, marque le 76e anniversaire de l’obtention du droit de vote des femmes du Québec. Tout au long du 20e siècle, des femmes remarquables ont lutté pour que les Québécoises obtiennent des droits égaux. Le monument Hommage aux femmes en politique de l’Assemblée nationale du Québec montre Marie Gérin-Lajoie, Idola Saint-Jean et Thérèse Casgrain tenant en main un projet de loi accordant aux Québécoises le droit de vote et d’éligibilité. Durant quatorze ans, année après année, ces femmes se sont présentées au Parlement pour revendiquer le droit de vote, et ce, avec des milliers d’autres femmes, jusqu’à ce qu’elles l’obtiennent, il y a 76 ans.

 Le lundi 11 avril, a eu lieu un premier événement En marche pour la parité à l’Assemblée nationale du Québec. Cette réunion s’est tenue à l’initiative du Groupe Femmes, Politique et Démocratie, qui œuvre depuis 15 ans à l’accès des femmes à la politique, et ce à tous les niveaux.

 Une égalité durable

Il y a 76 ans, les femmes ont remporté le droit de vote et celui d’éligibilité, qui leur donne accès à l’espace politique dans lequel s’élaborent les lois et règles de vies communes. Nous avions cru que la société québécoise, dite égalitaire, évoluerait d’elle-même vers une égalité de représentation des sexes, et qu'une place équitable serait faite aux femmes dans les lieux de pouvoir administratifs, politiques et économiques. Il a toutefois fallu attendre 21 ans avant qu'une première femme députée, Claire Kirkland-Casgrain, soit élue; et près de 40 ans pour que leur nombre dépasse les 20%. Force est de constater que la parité n’advient pas « naturellement ».

Certes, il y a eu constitution d’un Comité des priorités paritaire, sous le gouvernement de Jacques Parizeau entre 1994 et 1996, et plus récemment, la nomination par l'ex-premier ministre Jean Charest, d'un conseil des ministres paritaire en 2007 et 2008. D’autres gestes ont été plus durables, car ils ont été inscrits dans des lois ou règlements : l’introduction de l'égalité femmes-hommes dans les conseils d'administration des sociétés d'État et la parité des candidatures chez Québec Solidaire, seul parti au Québec à imposer la parité.

Il faut faire plus.

Le progrès ne vient pas tout seul

En 2016, les Québécoises sont encore loin d'exercer le pouvoir politique, voire économique, à égalité avec les hommes. À titre d'exemple, elles forment aujourd’hui 28,8% des élus à l'Assemblée nationale, 39,3% des ministres, 32% des conseillers municipaux, 17,3% des maires, 21,8% des préfets des municipalités régionales de comté (MRC) et 19,8% des conseils d'administration des grandes entreprises[1].

L’atteinte de l’égalité femmes-hommes n'est ni linéaire ni progressive, comme en témoignent les reculs constatés ces dernières années quant à la proportion de femmes députées et ministres. Dans les fonctions municipales, la croissance est anémique, une situation encore plus critique étant donné les nouveaux pouvoirs qui sont attribués aux MRC du Québec à la suite des réorganisations régionales.

En fait, le Québec prend du retard par rapport à d'autres pays dans le monde. Derrière le Rwanda (1er), la Suède (5e), le Mexique (7e), l’Angola (23e) ou encore le Soudan (45e), le Québec occupe le 49e rang en matière de représentation féminine dans les parlements[2], et régresse alors que plus d'une centaine de pays ont adopté, au cours des dernières années, des mesures contraignantes pour corriger l'exclusion des femmes de leur système politique.

La parité, principe démocratique

Cette situation n’est plus acceptable et notre démocratie ne peut s’en satisfaire. La parité femmes-hommes dans les instances du pouvoir, de tous les pouvoirs, est désormais le but à atteindre. Cette tâche ne peut pas incomber uniquement aux femmes; elle relève d’une responsabilité institutionnelle. Des obligations à la parité doivent être inscrites dans des règles claires, sans quoi rien ne garantit que les femmes soient partie prenante des décisions, un jour, à égalité avec les hommes. 

Nous demandons que l’Assemblée nationale et le gouvernement prennent le leadership pour corriger ce déficit démocratique.

Cela pourrait prendre la forme d’un chantier dans lequel la classe politique, les citoyens et des experts examinent les différentes options et propositions. À l’issue de ce chantier, le gouvernement devra légiférer pour assurer la représentation équitable des femmes et des hommes dans toutes les instances. Nous voulons voir advenir la parité dans les candidatures à tous les paliers de gouvernement, ainsi que dans les autres instances publiques et dans les processus de nomination.

Pourquoi?

  • Parce qu’un humain sur deux est une femme;

  • Parce que les femmes vivent, en tant que citoyennes, les effets des décisions des instances politiques, économiques, administratives;

  • Parce qu'elles contribuent par leurs savoirs, leur travail, leurs impôts, au fonctionnement de toute la société;

  • Parce qu'il faut miser sur les compétences des femmes autant que sur celles des hommes, de manière à utiliser toutes les ressources disponibles pour diriger la société;

  • Parce que la parité enrichira les lieux de décision en permettant aux points de vue des femmes de s'exprimer, pour qu’elles contribuent aux orientations, à la lumière des expériences et des cultures diverses qu’elles ont vécues;

  • Parce qu’en 2016, il est temps que la parité devienne au Québec un principe de démocratie.

La pluralité d'idées, d'opinions, d'expertises et la mixité des genres contribuent fortement au succès d'une gouvernance. La parité est un pas posé vers la résorption de ce qu’il reste d’inégalités femmes-hommes. C'est non seulement une question d'égalité des sexes, mais de légitimité démocratique.

 Liste des membres du conseil d’administration 

  1. Micheline Paradis, présidente
  2. Thérèse Mailloux, vice-présidente et trésorière
  3. Marie Lavigne, secrétaire
  4. Louise Pettigrew, administratrice
  5. Marie-Eve Proulx, administratrice
  6. Alain Saulnier, administrateur
  7. Pascale Navarro, administratrice
  8. Jean-Pierre Charbonneau, administrateur
  9. Alban D’Amours, administrateur


[1]Secrétariat à la condition féminine, Portrait statistique de l'évolution de l'égalité entre les femmes et les hommes, Faits saillants, Octobre 2015 et Conseil du statut de la femme, Présence des femmes et des jeunes dans les lieux décisionnels et consultatifs, 2015.
[2]Union interparlementaire, Les femmes dans les parlements nationaux, Statistiques antérieures, http://www.ipu.org/wmn-f/classif.htm consulté en février 2016.
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Un événement marquant de notre histoire

L'événement En marche pour la parité

Le 11 avril 2016, à l’Assemblée nationale du Québec, s'est réunie, à l’initiative du Groupe Femmes, Politique et Démocratie (GFPD), une centaine de citoyennes et de citoyens de toutes allégeances pour réclamer une loi assurant la parité dans toutes les sphères de décision. Cet événement était coprésidé par Mme Pauline Marois, première femme première ministre du Québec et M. Jean Charest, ex-premier ministre à qui l’on doit le premier cabinet paritaire, mais surtout la Loi sur la gouvernance des sociétés d’État leur imposant désormais la parité aux conseils d’administration des sociétés d'État. 

Lisez le communiqué

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Des citations

Micheline Paradis, présidente du Groupe Femmes, Politique et Démocratie

(...) « Nous voulons aujourd’hui à la fois rendre hommage à des pionnières qui ont fait une différence dans le cours de notre histoire et vous inviter à devenir avec nous Partenaires pour la parité dans une démarche collective en vue d’obtenir la reconnaissance de la parité comme principe de gouvernance démocratique.

Comme le dit si bien Élaine Hémond, qui a fondé le GFPD, « l’heure est maintenant venue d’atteindre la parité dans les instances de pouvoir, de tous les pouvoirs ».

(...) Et pour témoigner de l’importance de notre message, nous avons la chance d’avoir avec nous aujourd’hui une femme qui a voulu faire une différence en s’engageant en politique et qui a réussi, avec une détermination exemplaire, à défoncer le fameux plafond de verre en devenant la première première ministre du Québec.

(...) Nous sommes aussi reconnaissantes à l’ex-premier ministre, M. Jean Charest, d’avoir accepté d’emblée notre invitation. Nous lui devons le premier cabinet des ministres paritaire en 2007, soit 8 ans avant que le premier ministre du Canada, M. Justin Trudeau en fasse autant à Ottawa. 

Mais pour que la parité ne soit pas un « accident de parcours », liée à la seule volonté d’un premier ministre, si bonne soit-elle, le temps n’est-il pas venu de légiférer en ce sens ? Poser la question, c’est y répondre !» - Québec, 11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

Maryse Gaudreault, vice-présidente de l'Assemblée nationale du Québec

(...) « Permettez-moi de paraphraser Micheline Dumont, historienne, qui écrivait récemment dans Le Devoir « qu’il faut d’abord que les femmes aient conscience de l’injustice qu’elles vivent. Par la suite, il faut de la militance et surtout la persévérance pour contrer l’injustice. Enfin, il faut des femmes au pouvoir, des femmes et j’ajouterais des hommes convaincus de l’importance des droits des femmes, pour procéder aux modifications et changements indispensables à l’égalité ».

(...) « Il est clair que plus les femmes s’investiront dans des postes qui leur offrent le pouvoir de changer les choses, plus la société en bénéficiera et en sortira gagnante.»

Toutefois, malgré tout le chemin parcouru, nous devons continuer notre route et perpétuer cette marche en avant vers toujours plus de parité. » Québec, 11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

Pauline Marois, ex-première ministre du Québec et première femme, première ministre du Québec 

« On n'écarte pas d'un coup de baguette magique le caractère patriarcal des institutions, la discrimination systémique, les stéréotypes sexuels et le double standard qui existent encore dans toutes les sphères de la société. Malgré des progrès indéniables, les pouvoirs décisionnels appartiennent encore aujourd'hui à un Boys Club assez fermé. »

(...) J'appuie sans réserve votre proposition d'un chantier dans lequel des représentantes et des représentants de la classe politique, des citoyens et des experts examineraient les différentes options et propositions pour atteindre une juste représentation des femmes en politique. Ce chantier ouvert à toutes les options, notamment celle d'une législation, devrait favoriser l'émergence de consensus qui permettront au Québec d'agir avec conviction et fermeté.»Québec, 11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

Jean Charest, ex-premier ministre du Québec, à qui l’on doit le premier cabinet paritaire et la Loi sur la gouvernance des sociétés d’État 

(...) « Tout ça pour vous dire aujourd'hui que les circonstances nous ont permis en 2007 d'y arriver, mais s'il y a une leçon à tirer, c'est à quel point il a fallu préparer le terrain dans les années précédentes et à quel point ce n'est jamais une œuvre achevée, qu'il faut toujours persévérer. »

(...) L'expérience nous apprend qu'il faut des gestes formels qui sont concrets. Et c'est pour cette raison que je suis aujourd'hui avec madame Marois, à ses côtés, pour demander aux parlementaires de procéder à ce chantier, de le faire rapidement, avec diligence, avec l'ouverture d'esprit que commande un enjeu aussi important pour nos filles, et pour la prochaine génération de Québécoises - Québec, 11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

Album souvenir


Un aperçu des invitéEs avant le début de l'événement, 11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec



Les coprésidentEs d'honneur (Jean Charest et Pauline Marois), Micheline Paradis, présidente du GFPD
ainsi que Maryse Gaudreault. première vice-présidente de l'Assemblée nationale, 11 avril 2016,
Assemblée nationale du Québec

Maryse Gaudreault, vice-présidente de l'Assemblée nationale, prononce un mot de bienvenue, 
11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

 Karina Marceau, animatrice de l'événement,11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

Micheline Paradis, présidente du Groupe Femmes, Politique et Démocratie, explique le sens
de cet événement, 11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec


Allocution de Mme Pauline Marois, coprésidente d'honneur, première femme première ministre 
du Québec, 11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

 


Allocution de M. Jean Charest, coprésident d'honneur, premier premier ministre avec un cabinet
paritaire, 11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

De gauche à droite : Micheline Paradis, Pauline Marois, Maryse Gaudreault et Jean Charest,  
11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

Vincent Angel-Despins et Alicia Angel-Despins, lors de la lecture de la Déclaration En marche
pour la parité
11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

Maryse Gaudreault, vice-présidente de l'Assemblée nationale, signe la Déclaration En marche pour 
la parité, 11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

 

M. Jean Charest, coprésident d'honneur, premier premier ministre avec un cabinet paritaire,
signe la Déclaration En marche pour la parité11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

Mme Pauline Marois, coprésidente d'honneur, première femme première ministre du Québec,
signe la Déclaration En marche pour la parité, 11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

Mme Micheline Paradis, présidente du Groupe Femmes, Politique et Démocratie,
signe la Déclaration En marche pour la parité11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

Mme Alicia Angel-Despins signe la Déclaration En marche pour la parité, 11 avril 2016, Assemblée
nationale du Québec



M. Vincent Angel-Despins signe la Déclaration En marche pour la parité, 11 avril 2016, Assemblée
nationale du Québec


Mme Lise Thériault, ministre responsable de la Condition féminine, signe la Déclaration En marche
pour la parité,
 11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec




De gauche à droite : Lise Thériault, Vincent Angel-Despins, Micheline Paradis, Pauline Marois,
Jean Charest, Maryse Gaudreault et Alicia Angel-Despins, 11 avril 2016, Assemblée nationale
du Québec




Des membres du conseil d'administration du GFPD en compagnie de Mme Pauline Marois,
11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

 

Des membres du conseil d'administration du GFPD aux cotés de M. Jean Charest lors du prononcé
de son allocution, 
11 avril 2016, Assemblée nationale du Québec

Micheline Paradis, présidente du Groupe Femmes, Politique et Démocratie, en compagnie de
M. Jacques Chagnon, président de l'Assemblée nationale du Québec, 
11 avril 2016,
Assemblée nationale du Québec

Allocution de Mme Lise Thériault, ministre responsable de la Condition féminine, 11 avril 2016,
Assemblée nationale du Québec

Crédit photo : Hélène Bouffard, photographe

Les Partenaires pour la parité

Un collectif, issu de citoyenNEs et d’organismes signataires de la Déclaration, sera appelé à se constituer au cours de la prochaine année.

Au cours de cette même année, le Groupe Femmes, Politique et Démocratie travaillera à la mise en commun des efforts des groupes et des personnes qui souhaitent soutenir l’atteinte de la parité aux instances politiques.

L’an prochain, en avril 2017, les Partenaires pour la parité mesureront ce qui a aura été fait dans l’année.

Vous souhaitez en faire partie ? Signez la Déclaration à titre individuel ou en tant qu'organisme !

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